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Excusez-moi monsieur... Etes-vous Frank Lefort ?


Supercrav

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" Oui, c'est vrai..." commença Arnaud, avant de savoir trop quoi dire, "... Erwan est un très bon ami, moi aussi il m'inspire beaucoup."

Erwan sourit, Arnaud n'appréciait sa compagnie depuis des années que dans le seul objectif de ramasser les meufs qu'Erwan laissait dans son sillage.
 
Frank brandit alors l'un de ses biceps, et le fit entrer en bandaison, déployant toute la splendeur du magnifique organe et ses volumineuses protubérances.
 
" Je crois que je vais aller me reposer Erwan si cela ne te dérange pas."
 
Erwan remit ses pieds sur le sol puis lui répondit
 
" Je te rejoins dans deux minutes.
 
- Bonne nuit les gars.
 
- Bonne nuit Frank!" répondirent-ils.
 
Frank s'engouffra dans la maison.
 
" Bien les amis," dit Erwan, "merci d'avoir si bien acceuilli Frank, je me sentais mal de vous l'avoir imposé comme ça.
 
- Il est génial ce mec." dit Pierre, droit dans ses bottes. "Et vous avez une belle relation tous les deux. Erwan, je sais que t'es pas homo, mais clairement ce colosse est amoureux de toi. Et c'est évident que toi aussi tu l'aimes. Ca n'a pas besoin d'être sexuel pour être une belle histoire. Moi je suis content pour vous.
 
- Bah... Bonne nuit les gars.
 
- Bonne nuit !"
 
Et ils restèrent à siroter la fin de leurs verres alors qu'Erwan rejoignait sa chambre.
 
" C"était bien dit ce que t'as dit, Pierre." glissa Antoine.
 
--------------------
 
En arrivant dans la chambre, je me suis pris un choc en voyant Frank allongé sur le lit. Je m'attendais à le trouver là, mais la visionde ce mâle absolu,  entièrement nu, remplissant intégralement le lit king size de son corps, débordant du lit même, ses immenses pieds surtout à presque un mètre au delà, et toute cette débauche de muscle, ce déballage obscène d'hypertrophie musculaire sculpté dans la roche, strié, tailladé de crevasses d'une profondeur abysmale répondant au sommités exhubérantes atteintes par la formidable extension de ses muscles, son petit visage aux angles puissants me souriant, et se délectant de ma stupeur hallucinée, un long silence se fit...
 
Et je dis :
 
" Si tu avais entendu ce qu'ils ont dit après ton départ...
 
- Mais j'ai tout entendu. Viens t'assoir sur ma queue.
 
- Mais je... je...
 
- Tu quoi ?
 
- Il n'y a pas moyen que...
 
- Que quoi."
 
Le sourire de Frank se faisait de plus en plus large, alors que son sexe se faisait de plus en plus massif.
 
" Que... je puisse... faire entrer ça en moi. Je veux dire te faire entrer. Je...
 
- T'en as pas envie.
 
- Frank je ferais n'importe quoi pour toi, mais à l'évidence je ne peux pas te laisser me pénétrer avec un truc pareil. Ou alors c'est toi qui a envie de me tuer."
 
Ce n'était qu'un jeu, mais je m'impatientais. Et, oui, qu'il me laisse entendre que je ne pouvais pas être à la hauteur pour lui me mettait mal. Etait-ce bien un jeu, ou une torture. Ou les deux.
 
Il mit son corps en mouvement pour s'étendre sur le côté, vers moi, laissant ses pectauraux se déverser sur son bras gauche, et dressant son bras libre vers moi. Au bout de ce bras, il forma un poing avec ses doigts, mais en laissant son index tendu, en contracta à répétition les muscles de son index pour me faire signe d'approcher.
 
Ce que je fis, évidemment.
 
Il ouvrit sa main pour saisir ma tête et l'approcher près de son visage. Qu'il faisait le plus doux possible.
 
Malgré l'admiration, la vénération, l'adulation que j'ai pour Frank, je ne pouvais pas m'empêcher de penser à quel point son visage était ingrat. Disgrâcieux. Surtout là, en première ligne. Et c'est là la force de l'amour que j'ai pour Frank, c'était pour moi le plus bel homme que j'aie jamais rencontré, le plus magnifique, la perfection même, l'être le plus absolu et chaque instant auprès de lui me baignait de sa divinité.
 

Le plus incroyable était cette lueur dans son regard, une lueur que je connaissais bien mais qui dans ses yeux avait une valeur sans pareil, l'attrait pour mon visage, la fascination que pouvait exercer l'harmonie de ses lignes et mes grands yeux bleus.

Je me sentais vil, et vain, d'abuser, une fois de plus, de cette puissance passive que m'accordait ma beauté, enfin pas si passive puisque j'en connaissait chaque finesse tel un viloniste virtuose sur un Stradivarius bien accordé, pour avoir le privilège de cotoyer Frank Lefort, l'homme le plus puissant et le plus viril de l'univers. La moitié de l'humanité se damnerait pour être à ma place, et l'autre moitié préfèrerait être damnée plutôt que de l'admettre.

Il lisait en moi, et me dit :

" Seul toi vois la beauté en moi. Seul moi vois la beauté en toi."
 
Et il avait raison.
 
Je ne suis vraiment qu'une merde superficielle décidément.
 
Une fois avoir apprivoisé sa bouche avec la mienne, ou inversement, je me blottis contre lui, et après cette longue journée, nous nous endormîmes tendrement.
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  • 2 months later...
Erwan sourit, Arnaud n'appréciait sa compagnie depuis des années que dans le seul objectif de ramasser les meufs qu'Erwan laissait dans son sillage.
 
Frank brandit alors l'un de ses biceps, et le fit entrer en bandaison, déployant toute la splendeur du magnifique organe et ses volumineuses protubérances.
 
" Je crois que je vais aller me reposer Erwan si cela ne te dérange pas."
Erwan remit ses pieds sur le sol puis lui répondit
" Je te rejoins dans deux minutes.
- Bonne nuit les gars.
- Bonne nuit Frank!" répondirent-ils.
Frank s'engouffra dans la maison.
" Bien les amis," dit Erwan, "merci d'avoir si bien acceuilli Frank, je me sentais mal de vous l'avoir imposé comme ça.
 
- Il est génial ce mec." dit Pierre, droit dans ses bottes. "Et vous avez une belle relation tous les deux. Erwan, je sais que t'es pas homo, mais clairement ce colosse est amoureux de toi. Et c'est évident que toi aussi tu l'aimes. Ca n'a pas besoin d'être sexuel pour être une belle histoire. Moi je suis content pour vous.
- Bah... Bonne nuit les gars.
- Bonne nuit !"
Et ils restèrent à siroter la fin de leurs verres alors qu'Erwan rejoignait sa chambre.
" C"était bien dit ce que t'as dit, Pierre." glissa Antoine.
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En arrivant dans la chambre, je me suis pris un choc en voyant Frank allongé sur le lit. Je m'attendais à le trouver là, mais la vision de ce mâle absolu, entièrement nu, remplissant intégralement le lit king size de son corps, débordant du lit même, ses immenses pieds surtout à presque un mètre au delà, et toute cette débauche de muscle, ce déballage obscène d'hypertrophie musculaire sculpté dans la roche, strié, tailladé de crevasses d'une profondeur abysmale répondant au sommités exhubérantes atteintes par la formidable extension de ses muscles, son petit visage aux angles puissants me souriant, et se délectant de ma stupeur hallucinée, un long silence se fit...
Et je dis :
" Si tu avais entendu ce qu'ils ont dit après ton départ...
- Mais j'ai tout entendu. Viens t'assoir sur ma queue.
- Mais je... je...
- Tu quoi ?
- Il n'y a pas moyen que...
 
- Que quoi."
Le sourire de Frank se faisait de plus en plus large, alors que son sexe se faisait de plus en plus massif.
" Que... je puisse... faire entrer ça en moi. Je veux dire te faire entrer. Je...
- T'en as pas envie.
- Frank je ferais n'importe quoi pour toi, mais à l'évidence je ne peux pas te laisser me pénétrer avec un truc pareil. Ou alors c'est toi qui a envie de me tuer."
Ce n'était qu'un jeu, mais je m'impatientais. Et, oui, qu'il me laisse entendre que je ne pouvais pas être à la hauteur pour lui me mettait mal. Etait-ce bien un jeu, ou une torture. Ou les deux.
Il mit son corps en mouvement pour s'étendre sur le côté, vers moi, laissant ses pectauraux se déverser sur son bras gauche, et dressant son bras libre vers moi. Au bout de ce bras, il forma un poing avec ses doigts, mais en laissant son index tendu, en contracta à répétition les muscles de son index pour me faire signe d'approcher.
Ce que je fis, évidemment.
Il ouvrit sa main pour saisir ma tête et l'approcher près de son visage. Qu'il faisait le plus doux possible.
Malgré l'admiration, la vénération, l'adulation que j'ai pour Frank, je ne pouvais pas m'empêcher de penser à quel point son visage était ingrat. Disgrâcieux. Surtout là, en première ligne. Et c'est là la force de l'amour que j'ai pour Frank, c'était pour moi le plus bel homme que j'aie jamais rencontré, le plus magnifique, la perfection même, l'être le plus absolu et chaque instant auprès de lui me baignait de sa divinité.
 
Le plus incroyable était cette lueur dans son regard, une lueur que je connaissais bien mais qui dans ses yeux avait une valeur sans pareil, l'attrait pour mon visage, la fascination que pouvait exercer l'harmonie de ses lignes et mes grands yeux bleus.
Je me sentais vil, et vain, d'abuser, une fois de plus, de cette puissance passive que m'accordait ma beauté, enfin pas si passive puisque j'en connaissait chaque finesse tel un viloniste virtuose sur un Stradivarius bien accordé, pour avoir le privilège de cotoyer Frank Lefort, l'homme le plus puissant et le plus viril de l'univers. La moitié de l'humanité se damnerait pour être à ma place, et l'autre moitié préfèrerait être damnée plutôt que de l'admettre.
Il lisait en moi, et il me dit :
" Seul toi vois la beauté en moi. Seul moi vois la beauté en toi."
Et il avait raison.
 
Je ne suis vraiment qu'une merde superficielle décidément.
Une fois avoir apprivoisé sa bouche avec la mienne, ou inversement, je me blottis contre lui, et après cette longue journée, nous nous endormîmes tendrement.
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Oups. Je crois que je lui ai fait un peu peur avec mon sourire carnassier. Comme ça, dès le réveil. Ca devait faire trois quarts d'heure que je le regardais dormir, je commençais à être impatient de le voir se réveiller.
Je n'ai pas attendu qu'il émerge complètement, je me suis dressé hors du lit. Ca faisait longtemps que je n'avais pas eu un sommeil aussi bénéfique - d'ailleurs j'ai trois repas de retard - de plus ce lit était quasiment à ma mesure, ce qui ne m'arrive presque jamais. Et moi, à mon réveil, j'avais le visage de cet ange devant moi, plus beau que mes rêves, ronronnant contre moi.
J'entendais la compagnie rigoler sur la terrasse, je suis allé leur dire bonjour, et saluer le soleil.
Ca sentait bon le café chaud et la camaraderie, tout cela était trop parfait, je m'étirais de joie bombardé par cette belle journée qui s'annonçait.
Et là un gros silence. "Bonjour les..." je me demandais si j'avais pas fait une connerie, je peux être si maladroit des fois.
Ils restaient là pantois, comme autant de chiens assis sous une couverture. Me fixant. Comme si...
Ah oui c'est vrai, au temps pour moi.

Dans mon emportement j'avais oublié que j'étais... et bien, là, mes deux mètres et quelque (je me setais grand aujourd'hui, je devais bien faire dans les quinze-vingt) et puis pas loin de la tonne à mon avis, plus de 900kg en tout cas. Là, étiré, les bras en l'air, comme si de rien était, étalant cette hallucinante opulence musculaire dont j'avais fait mon corps, un immeuble de puissance - à la fois je ressentais un peu la gêne que causait ma présence, autant je ne pouvais m'empêcher de me nourrir de l'infini respect et de la crainte viscérale que ma musculature inspire en tout un chacun.
Ca avait toujours un côté indécent bien sûr, comme pourrait le ressentir l'homme le plus riche au monde au milieu de miséreux. En permanence.
Et parlant d'indécence, je venais de réaliser, en suivant leur regard, que je me trimballais la bite et les couilles à l'air, ce qui n'arrangeait rien au tableau avec ma semi-molle, qui devait plutôt ressembler à un semi-remorque pour eux.
Etouffant un petit rire, je mis mes poings sur les hanches en mode géant vert pour balancer un "Ca va les gars ?" Et je m'asseyai par terre, en tailleur, auprès de la table, mon visage à leur hauteur, mais un poil en dessous quand même.
Pierre prit la parole, "On te sert un café ?
- Oui, s'il te plaît, deux sucres."
Il me tendit mon bol, je le remerciai, et au bout de quelques instants la conversation reprit son cours. Je me faisais le plus discret possible et mis à part le Arnaud qui était fasciné par mes muscles plus que jamais, mais avec retenue vu qu'il avait du se faire bien vanner par ses potes suite à son comportement de la veille. Retenue toute relative.
Au bout d'un moment je caresse du doigt l'avant-bras du discret Jean-Claude à ma gauche, il se penche vers moi et je demande un peu trop fort "c'est un paquet de biscottes, là?
- Bah oui, " qu'il me répond le Jean-Claude.
" S'il te plaît, tu pourrais m'en beurrer une ou deux et me les passer ? Parce que j'adore ça mais je.... Je ne peux pas....
- Tu peux pas quoi ?
- Et bien, je ne peux pas les tartiner," sortant pour preuve une paluche de la taille d'un service à raclette, "même les attraper c'est... difficile."
Je prends l'air gêné. Oui je voulais me mettre en position d'infériorité et les biscottes c'est fait pour ça.

Jean-Claude prit un plaisir amusé à m'en tartiner une, et la tablée avait le sourire aussi,
"- Mais voilà mon bon Frankie, tiens."
J'entrepris de manipuler la bête, mais voyant mon désarroi les rires commencèrent à partir, je ris de moi-même, et Jean-Claude vint à ma rescousse.
" Attends mon Frankie, tu veux que je la tempe dans ton café ?" Entre deux rires, je lui répondis
"Bah oui s'il te plaît', et sans crainte, Jean-Claude approcha la biscotte jusqu'a ma bouche pour me faire croquer dedans, et je ris de plus belle.
" Tu parles d'un gros bébé !" commentai-je, et la glace était brisée, nous riions sainement tous ensemble, à part Arnaud qui continuait à faire sembllant de ne pas se masturber en admirant mon corps. Parmi les autres il y avait certainement de la bite bien dressée, mais je n'ai pas voulu faire attention, je n'étais pas là pour compter les points, juste passer un bon moment, alors que Jean-Claude me préparait la biscotte suivante., qu'il me fit manger ensuite,et je le remerciai encore, l'assurant que ça irait bien. Mais Pierre me dit
" Tu es sûr que ça va te suffire? Ca m'étonnerait que tu appelles ça un repas, et t'as rien mangé depuis hier.tu dois crever la dalle."

Il s'inquiétait pour moi c'était adorable, et bienveillant, mais j'enchaînai
"Ne t'inquiète pas Pierrot, je gèrerai ça après, mais avant qu'Erwan se réveille, j'aimerais vous dire un mot.à tous et à chacun, Damien, Hervé, Antoine, Pierre, Arnaud, et Jean-Claude," en les regardant un à un à l'énoncé de leurs prénoms," Je ne vous connais pas,et vous ne me connaissez pas non plus, et naturellement vu que vous êtes les amis d'Erwan j'ai envie que vous m'appréciez, mais sorti de tout ça je veux vous dire une chose qui le tient à coeur, voilà, je suis comme je suis et je ne vais pas m'en plaindre, sur le plan physique, sur le plan mental je suis comme je suis aussi et il faudrait qu'on se connaisse mieux, mais il y a que, voilà, j'ai beaucoup de mal à me faire accepter par les gens, ou pire les groupes de gens, et c'est une des rares fois où, peut-être la seule...."
Et là j'entends du boucan dans les waters. Erwan est réveillé et il va pas tarder à arriver, donc...
" Voilà, vous m'avez grave accepté, accueilli, toléré... Evidemment au départ c'est pas facile de digérer l'arrivée d'un gars avec mon.... physique... Mais vous avez passé la phase du jugement en deux secondes chrono, super tolérants, et un autre truc qui est évident c'est que vous m'avez accepté parce que vous aimez Erwan, que Erwan vous aime, et j'aime Erwan, et cette confiance que vous avez en lui, ce respect, ça a rejailli sur moi, et j'aime encore plus ce con d'Erwan d'avoir des amis tels que vous, et si il faut que je devienne ami avec l'un d'entre vous, ou l'autre, ou tous, vous verrez que l'amitié est un mot très fort pour moi.
- Group hug? " une idée d'Arnaud, comme par hasard, et ils se levèrent tous pour qu'on se prenne dans les bras, et c'est là qu'Erwan est arrivé, sans bien comprendre ce que je foutais assis par terre, à poil, lui souriant bêtement, les yeux un peu mouillés, haussant les épaules alors sas potes étaient agrippés à bras de corps à mon torse, un sur chaque biceps, un sur chaque triceps, et les deux restant encastrés dans la masse de mes pectoraux.
Erwan s'avança, non pas en colère mais interloqué, contrarié, ce qui donnait un surcroît de virilité à ses traits précis, tout en gardant ce visage d'ange, sa mâchoire devenait si anguleuse, ses arcades si marquées, et dans son regard on pouvait apercevoir la flamme infiniment bleue qui y couvait. Un visage qui retourne des empires, qui détrônent les rois. Je n'avais certainement aucune envie de me mettre en travers du chemin de ce démon tapi en l'âme de mon doux trésor Erwan.
Erwan en s'avançant posa son pied sur quelque chose. Qui s'écrasa avec un petit craquement. Erwan regarda sous son pied, puis le sol autour de lui, et laissa éclater sa surprise.
"Quel est le con qui a éclaté des biscottes partout ?"
Sa réaction nous fit rire chaudement, ce qui adoucit la situation légèrement bizarre.Je posai un genou à terre à nouveau afin que les gars puissent descendre de mes muscles.
"Je suis désolé Erwan, c'est entièrement de ma faute." Me redressant de toute ma hauteur, j'offrais à mon Erwan le divin spectacle de la splendeur de mon corps. Dieu que j'aime cet incroyable pouvoir que je possède, celui de faire apparaître la joie et le désir sur le merveilleusement beau visage d'Erwan - cet élan de bonheur rendait sa beauté encore plus parfaite, mais surtout son regard sur moi s'enflammait du bleu le plus ardent, me brûlant d'amour et d'adoration.
Majestueusement, j'évoluais en direction de mon petit ange, orchestrant le roulement de mes muscles de façon à tétaniser l'assistance comme je sais si bien le faire, exhibant de façon outrancière leur développement et leur expansion volumique contractile sous couvert de mouvements en apparence anodins.
Quel plaisir de voir les beaux yeux mon apollon, à peine réveillés, se délecter de ce festin, courant affolés de part et d'autre de ma musculature. Il avait l'air abasourdi, ses pieds nus plantés au sol, les genoux un peu pliés, les bras ballants de ses épaules tombantes, sans conscience de la salive qui commençait à couler du coin de sa bouche entrouverte, ni de la furieuse érection qui avait trouvé son chemin hors de son caleçon.
"Je remerciais tes amis pour le formidable accueil qu'ils m'avaient fait. Je t'en supplie Erwan ne sois pas fâché après moi.
- Je... Monsieur Lefort, je.... vous êtes si beau je vous aime
- Viens-là mon amour"
Saisissant d'une main son postérieur, je le soulevai pour faire glisser son torse frêle et nu entre mes énormes pectoraux, une fois que son visage apparût près du mien, je lui fis mon plus beau sourire.
"Mon Erwan je t'aime, je suis si bien avec toi, et avec tes amis." Comme mon autre bras était libre, je l'ai bien évidemment brandi pour offrir à mon homme la joie d'amirer mon colossal biceps copieusement bandé, et redoublant d'éfforts pour en faire jaillir toute la glorieuse puissance au vu du plaisir intense que lui provoquait cette exhibition. En jetant un coup d'oeil alentours je vis que l'assistance se masturbait plus ou moins frénétiquement.
"Regarde Erwan comme tes amis m'apprécient. Ils sont géniaux."
En opérant un quart de tour pour lui faire observer la situation, je le faisais tréssauter contre moi, comme on pourrait le faire avec un bébé qui pleure, alors que je cherchais juste à malaxer son sexe avec mes muscles abdominaux.
"Mon cher amour, que dirais-tu de jouir dans mes énormes muscles? Veux-tu que nous retournions dans la chambre? Sinon on peut aller à la plage, ou en ville, où tu veux, tu sais très bien que tu peux disposer à volonté de ma monumentale hypertrophie musculaire pour assouvir tes désirs sexuels - je suis entièrement à toi, absolument chacun de mes muscles monstrueusement ultra développés, atrocement gonflés de stéroïdes au point d'exploser ne sont voués qu'à ton seul plaisir, l'immense étendue de mes muscles est ton domaine, mon infinie puiissance musculaire est sous tes ordres..."
Erwan, en transe depuis un moment déjà, les yeux fermés, avançait ses lèvres en les clapant comme un poisson hors de l'eau pour me supplier de l'embrasser, alors je collai mes lèvres suintantes, aussi laides que mon nez crochu et mes yeux tombants, contre celles parfaites du sublime jeune homme qui s'offrait à moi.

Pour lui procurer un orgasme supplémentaire, je bandis mon autre biceps, le maintenant en l'air avec mon pénis dur comme l'acier. Il est tombé dans les pommes.

De peur d'abîmer Erwan, je pris le premier gars à ma portée pour le défoncer avec ma queue. C'était quoi son prénom déjà ?
 
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